Les dix bonnes raisons pour ne pas rater le choc ASPTT Mulhouse-Béziers

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Un sport, une ville, un territoire

Les dix bonnes raisons pour ne pas rater le choc ASPTT Mulhouse-Béziers

Les dix bonnes raisons pour ne pas rater le choc ASPTT Mulhouse-Béziers

Parce que la dernière fois que l’ASPTT Mulhouse a rencontré Béziers, il y a une dizaine de jours en Coupe de France, le Palais des sports a été le théâtre d’un match complètement fou : plus de deux heures et demie de jeu, dix balles de match, un 3e set d’anthologie (35-33), un retournement de situation irréel (de 0-2 à 3-2), un tie-break de folie (16-14) et un « happy end » à la mulhousienne.

Parce qu’il suffit de regarder le classement de la Ligue A féminine pour être convaincu qu’il n’y a pas mieux que Mulhouse et Béziers pour le moment.

Parce que l’ASPTTM veut rester invaincue dans son Palais et que Béziers veut sa revanche à Mulhouse après sa cruelle défaite en Coupe de France.

Parce qu’il y aura un duel de cogneuses entre les deux meilleures attaquantes du championnat : l’internationale camérounaise de l’ASPTTM, Laetitia Moma-Bassoko, meilleure marqueuse de la Ligue A la saison dernière, actuellement devancée au classement par l’Américaine de Béziers Malina Terrell.

Parce que vous êtes Alsacien, fier de l’être, et que l’ASPTT Mulhouse symbolise les valeurs de sa région : « Jetzt geht’s los ! »

Parce que le Palais des sports est un endroit où vous pouvez hurler sans passer pour un débile ou un fou furieux.

Parce qu’en tant que supporter de l’ASPTTM, vous êtes en droit de prononcer les prénoms d’Olga, Léa, Aurélia, Laetitia, Laura, Héléna, Katarina ou Indy, même en plein sommeil, sans risquer le divorce.

Parce qu’à la télé, à la même heure, il y a Danse avec les stars. Et sans Linda Hardy, c’est de moins en moins rock’n roll.

Parce que le vin chaud de Bernard Magail, à la buvette centrale à l’entrée du Palais, mérite le détour.

Parce que vous aimez les Mulhousiennes triées sur le volley !

Christian Entz